Société

Du tourisme internet.

Pensant encore à l’Europe et en attendant de retourner à New York d’ici deux semaines j’écoute les fantastiques guides de voyage de Vice, le magazine que j’adore (et toujours sur mon bol de toilette depuis le début de mon CEGEP).

www.vbs.tv/en-ca/watch/the-vice-guide-to-travel

Je n’avais jamais pris le temps de les écouter et que constate qu’en terme de sujets offbeat et dangereux il sont forts… vraiment forts. C’est pas très dangereux les DO & DON’T finalement.

Le programme sur le Libéria est complètement malade avec son général de guerre converti au Christianisme qui mange des enfants frais, les horribles bidonvillois high sur l’héroine qui se vantent de viols et autres atrocités humaines. Une chance que les animateurs ont un sens de l’humour absurde et du timing. Pas étonnant que CNN poussent leur contenu unique aussi parce que j’imagine mal Anderson Cooper sauver des enfants dans ce coin là.

Le guide de la Corée du Nord m’a fait rire aux larmes une bonne couple de fois. Ils sont complètement sur une autre planète. Comme Shane Smith résume si bien à la fin, la Corée du Nord c’est une machine à voyager dans le temps pour aller en union soviétique en 1950. Se taper toutes les étapes étranges de la série vaut la peine encore plus quand on voit la finale renversante. Et je ne parle pas de soudaine catastrophe mais bien d’un trip mégalomaniaque inégalé, la cerise géante sur le sundae. Parenthèse sur un autre trip de mégalomanie : un court vidéo de 13 minutes sur le plus gros centre commercial au monde en Chine qui est pratiquement inoccupé depuis 2005.

L’émission sur la guerre de la Vodka entre la Pologne et la Russie est enrichissante et plus calme que les autres ; pas de cannibalisme au moins. C’est simple, toutes les émissions sont super mais on ne voit malheureusement pas vraiment d’animaux mutants dans l’émission de Chernobyl (excellente!) ou le maudit dinosaure au Congo (absurde).

Chez ma mère à Grand-Mère j’avais du temps à tuer et j’ai trouvé quelques épisodes sur-demande de Transsibérien, mon amour à propos de cette ligne de train que je ne connaissais pas beaucoup. J’ai bien aimé regarder ça du coin de l’oeil (le rythme lent et le côté personnel de l’émission suggèrent de faire autre chose en même temps). Pour les weirdos c’est possible de se claquer le voyage de train de 9226 km en temps réel sur google.

Ok, j’écoute trop de patentes sur internet, je retourne travailler.

Société

Encore de la bouffe

Anthony Bourdain j’aime bien ses shows de voyage+bouffe. Je l’avais connu majoritairement en faisant de la recherche sur l’Inde sur un pilote télé et voilà que je suis tombé sur une vieille émission complète sur le Québec qui a refait surface sur Reddit cette semaine et qui est remplie de belles citations telles que « I feel? like I’m fisting a samoyed ».

En gros, il trippe sur Au pied de cochon, il visite la banquise, il sort tromatisé d’une cabane à sucre et mange du phoque cru éventré par terre dans une cuisine dans le nord du Québec (partie 4). Ce bout là est particulièrement hallucinant.

Partie 1
Partie 2
Partie 3
Partie 4
Partie 5

N'importe quoi, Société

Jouer à la cachette

Parce quand ton moteur de voiture miaule c’est pas parce que t’as accroché un mauvais bouton.

Hier soir Iphy entend un chat miauler à répétition à pied en chemin vers mon appartement. Elle n’arrive pas à le localiser et entre chez moi pour me parler du miaulement mystérieux et m’offrir de repartir à sa recherche car les miaulements sonnent plus comme des appels à l’aide. En ressortant, le chat ne se fait plus entendre. Iphy marche un peu et croise plutôt un chien errant apeuré qui se sauve lui aussi à son tour.

La vie continue.

Le lendemain, ce matin, elle part de chez moi et sa voiture se met à miauler à l’aide après quelques mètres. Craintive d’y trouver un chat blessé en dessous ou dans le moteur elle m’appelle pour que je collabore à son sauvetage. On ouvre simplement le capot et on trouve en effet le petit habitant du moteur reculé dans un minuscule coin par dessus le réservoir de lave-vitre. Le petit grelotte et Iphy en a pris soin.

Remarquez que je n’ai pas fait de tentative de lolcats.

Société

Nouveau Cinéma et docus épeurants

http://www.nouveaucinema.ca/

L’horaire est sortie depuis la semaine dernière et j’ai pu faire ma petite sélection.

Confessions
Je vais être le 1000ième à dire que ça a une bonne petite impression de Battle Royale. C’est dimanche 17 octobre 22h00 à l’Impérial.
Bande annonce bonjour.

Enter the void
Le délire hallucinatoire de Gaspar Noé peut enfin être vu à Montréal le lundi 18 octobre à 12h30 au Quartier Latin (une représentation le 16 octobre à 21h45 est aussi disponible mais pas pour moi).
Bande annonce bonsoir.

La prévente de billets débute ce samedi et le guide PDF est ici. Désolé pour le hotlink.

Scientists under attack m’intéressait aussi considérant que c’est le domaine à Iphy et que Monsanto est toujours aussi détestable mais je vais assurément être en fin de Kabaret Kino donc complètement submergé par le travail de dernière minute. Les bandes annonces ne sont pas rassurantes en tout cas.

Scientists under attack :
http://www.youtube.com/watch?v=QT1Hv1Eo7e4
http://www.youtube.com/watch?v=Gn52lEAmhFI
Vendredi le 22 octobre 15h au Festival du nouveau cinéma.

Dans le registre des documentaires épeurants il y a aussi ces films récents :

Gasland :
http://www.youtube.com/watch?v=TwT_H9XDYQQ
Juste à point si on considère qu’au Québec on en parle davantage depuis l’été.

Inside job :
http://www.youtube.com/watch?v=X2DRm5ES-uA
Un des films au TIFF que j’aurais été voir. Sortie limitée en Amérique dès vendredi.

Parlant de films, Spasm dévoile sa programmation mercredi à 17h30 au Katacombes. Très excitant (même si je n’en fait pas partie cette année, snif)
Détails sur Faceboute

Société

A – bordel de – Serbian Film

Le prix du public est sorti sur le site de Fantasia quelque part il y a deux semaines.

Fantasia 2010. Prix du public.
Meilleur film européen, nord-américain ou sud-américain
Gold – A Serbian Film (Serbie/Serbia)

Page sur le site du festival Fantasia

Nous tenons à vous avertir : voici l’un des films les plus perturbants que vous verrez dans votre vie. Cet avertissement est sérieux. Ce film vous niquera les sens, violera votre âme. Vous êtes prévenus.

Après une dizaine d’avertissements dans le même genre provenant de critiques qui ont vu le film à South-By-Southwest c’est donc grandement préparés que plusieurs Montréalais, incluant moi, ont pu affronter le film à Fantasia. Inutile de dire que cette préparation, additionnée à la lecture d’éléments des scènes les plus horrifiantes pour mieux savoir dans quel sorte de bad-trip on se lance, n’est pas assez pour rendre l’expérience tolérable et ce même pour les plus endurcis de films comme Hostel et tous les films du genre. En se faisant raconter des passages du film, ce qui pourrait arriver c’est que quelqu’un pourrait immédiatement se dire que ce n’est pas un film pour lui et il aurait probablement raison. Pour moi qui n’est pas spécialement un fan de films d’horreur et encore moins de films de torture, comme Hostel et Hostel 2 que je me suis fait un plaisir de ne PAS regarder, tout en étant très capable de tolérer les pires scènes de sang, c’est surtout le côté novateur de Serbian Film qui m’intéressait.

Harry, de aintitcoolnews.com

SERBIAN FILM is a brilliant movie. The very best film that I saw at SXSW 2010.

Il s’est aussi fait traiter de tous les noms dans les commentaires du bas de la page pour avoir aimé le film.

Quand je repense à ce que j’ai vu avec ce film je suis encore sous le choc. Ce n’est pas simplement ce que l’on y voit est si répulsif que j’aurais de la difficulté à décrire quelques scènes ici mais c’est surtout que le film nous fait d’abord lentement entrer dans son univers à travers des personnages spéciaux mais crédibles et attachants pour ensuite nous transporter rapidement en enfer avec eux. Et en enfer ça dégringole toujours plus loin même au moment qu’on pense que ça ne peux pas pire aller. Je n’ai pas de meilleur mot ou de meilleure notion que l’enfer pour décrire ce qu’on vit dans la deuxième moitié du film quand Milos l’ancien acteur porno accepte finalement un dernier contrat dans le film pornographique au scénario secret. On part dans tout ce qu’il a de plus sombre et tordu de l’humanité où la mort serait de loin mieux pour plusieurs personnages. Sans révéler de punch, on assiste surtout à une inoublablement triste destruction d’un noyau familial que le réalisateur prend bien soin de nous présenter au début. L’auteur du film justifie cette surdose de sexe+violence inouie en nous parlant du baggage historique de la Serbie. En résumé et adapté avec mes mots de plusieurs articles et des deux longues entrevues qu’il a accordé pour Tears for sale et A Serbian film :

– Quand tu nais en Serbie, le système te fourre dès la naissance et tu deviens toi même un fourreur, donc t’es fourré pour la vie. Le film c’est pas mal l’incarnation de ça… mais pas au sens figuré malheureusement.
– Quand t’es un peuple constamment en guerre, c’est des cicatrices qui restent et le passé prend une telle importance que tu passes ta vie à respecter l’héritage des anciens sans pouvoir t’en sortir. Idem pour le fait que t’es toujours en train de te préparer pour la prochaine guerre même en temps de paix.
– Les sacres serbes sont originaux, immondes mais ont un petit quelque chose de poétique.
Serem ti na dedu na samrti! I shit on your grandpa while he’s dying!. On s’entend tu pour dire que c’est un sacre méchant et drôle mais, dans ma tête d’occidental qui n’a heureusement jamais vu la guerre, c’est pas le genre de chose qui arrive dans la vie. A Serbian Film, sans reproduire cet exemple précis, accomplit plusieurs de ces sacres qui sont immondes mais comme c’est réel c’est pas mal moins comique.
– Le gouvernement ne subventionne que la culture qui entretient le misérabilisme et donc qui rappelle la guerre, les disparus, l’héritage et couperait les ailes de ceux qui veulent faire évoluer la Serbie culturellement.
– C’est ancré dans l’imaginaire que dans la vie il n’y a que 1. Les victimes 2. Ceux qui profitent des victimes et qui aiment ça.


L’image la plus gentille que j’ai pu trouver.

Même si certains bloggueurs trouvent que ce sont de fausses excuses pour repousser les limites du mauvais goût et qu’à la limite je suis d’accord, je suis forcé de constater que dans les meurs il y a réellement une différence. L’auteur parle donc que son film est un vrai film de guerre et il a raison dans le sens où les atrocités qu’on peut y voir ne sont pas si irréalistes quand on considère l’histoire des guerres et les pires histoires actuelles de génocide, du Rwanda, la Bosnie, les viols chez Halliburton en Iraq, les Haïtiennes mineures qui se prostituent pour des coupons de nourriture après le tremblement de terre, Guantanamo, tout ce qu’on sait déjà, tout ce qu’on ne sait pas encore, tout ce qu’il reste encore. Pour autant qu’un film comme Saving private Ryan nous approche de la mort en nous plaçant près des personnages dans des champs de bataille on a pas le choix de voir la guerre comme un drame humain qui est un mouvement de masse et dans lequel tout le monde est pris à ce moment là dans le temps. Dans A Serbian Film c’est pas le feeling qui en ressort, c’est vraiment comme la pourriture de l’humanité en film, version intime et sans raison autre que le divertissement de certains personnages du film. Une grosse giclée d’acide au visage qui nous dit que ces choses existent probablement. C’est le film qui rappelle la vraie signification du mot horreur.

Fucked for life. … et même après.

Je parle avec passion ici du film et de son potentiel sens mais je n’ai aucune intention de terminer cette évacuation d’idées par une recommandation du film. D’avoir un bouton rewind dans ma tête je ne sais pas trop ce que je ferais. Du même coup, si quelqu’un écoute le film et le prend au premier degré, TANT MIEUX, il va juste mieux dormir pour une semaine.

Sur une note plus drôle (??). Des sacres serbes!!!
NSFW? Language vulgaire disons.

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Société

Comment profiter de l’expo manger santé

L’expo se passe maintenant, samedi et dimanche au palais des congrès.

Ça coute 12$ entrer donc pour les non-initiés ça n’a pas nécessairement l’air un bon deal pour découvrir de la nouvelle bouffe bio. Voici mes conseils pour en profiter.

1. Y aller le ventre vide.
Toutes les dégustations vont assurément vous faire l’effet d’un repas, mais avec 10 fois plus de mélanges que la normale. Gouter un yogourt de chèvre, une saucisse de viande bio, une confiture de mangues, un curry aux épinards, un lait au chanvre au chocolat, un pain au lin et un fromage au jalapeno dans la même demie-heure c’est commun. Pour un moins gros choc pour l’estomac, commencez par les pommes gratuites, enchainez avec les soupes miso et autres trucs qui servent d’entrée, goutez ensuite les viandes et protéines de soya pour finir avec les yogourts bio au pommes & mures ou vanille & thé vert et des confitures parmi la grande variété, papaye & mangue équitable par exemple. Les coupons rabais sont aussi massivement distribués.

2. Apporter 40$-60$ cash de plus.
Le prix d’entrée vaut déjà plus la peine quand on sait que nos chances d’avoir le ventre plein en sortant sont grandes mais c’est pas toujours assez. Mon conseil c’est aller là avec un sac à dos rempli de ice packs et faire l’épicerie. C’est direct du fabriquant donc les prix sont souvent fous et on peut jaser avec des gens qui s’y connaissent, quitte à même avoir le cultivateur/producteur présent pour les questions. À noter les kiosques :
– Des bouteilles de vin bio autour de 14$, c’est le prix de la SAQ et vous avez le bonus d’essayer du nouveau.
– 5-6 énormes bananes équitables & bio pour 2$.
– Tous les fromages l’ancêtre à prix réduit.
– Le comptoir à viande de la Boucherie Valens avec des prix vraiment excellents pour de la saucisse, du salami, du roti de boeuf et autre.
– Les gros sacs de café équitable&bio de première qualité au même prix que du café normal.
– Les pizzas du Commensal à 3 pour 10$ au lieu de 6$ l’unité en épicerie.
– Fromage et lait de chèvre à moitié prix.
– Des currys délicieux déjà prêt qui sont à 2 pour 5$
– Le kiosque de fake-viande de Chi-Ming et du restaurant Yuan pour acheter des gros paquets de protéine de soya et une dégustation très WTF en terme de reproduction fidèle du goût de la viande. Amusant.

3. Évitez les kiosques de suppléments et de petites poudres.
…et tous les gadgets nouvel-âge ainsi que les kiosques avec des philosophies turn-off trop intenses et/ou quasi-végé-religieuses. Mais ça c’est juste moi.

Astheure donnez moi une job à l’émission l’épicerie à Radio-Canada. Hahaha.

Société

La publicité à suivre.

Je ne parle pas de publicité que l’on se doit de suivre parce qu’elle mérite notre attention mais bien des exemples récents de grosses campagnes publicitaires où le message vient en deux étapes.

J’apprécie que ça sollicite le côté investigateur de tous et chacun. Face à une pub sans branding, on cherche naturellement le message caché et ça peut provoquer des discussions.

À mon avis, les exemples récents réussis sont :

– Les affiches de personnes avec des identifications claires de « Meurtrier », « Pédophile » auquelles on a ajouté après quelques semaines l’étampe « acquitté ». On voyait clairement le visage de l’individu avec son crime écrit en grosses lettres et aucun autre branding était présent. La pub avait de l’impact et comme c’était pour annoncé l’émission « Rescapés de la justice » au canal D toute la mise en scène était pertinente.

– Le nouveau logo de Bell. Quoiqu’on dise du logo lui-même avec son ptit look Dell et son tracking réduit, la campagne était si grosse qu’on ne pouvait pas se dire que c’était rien. Les panneaux publicitaires étaient d’abord sous la forme de lignes et de courbes bleues dans des coins de posters complètement blanc. Le tout sans être capable de l’identifier. C’était évidemment des parties de lettres du nouveau logo de Bell. C’est simple mais réussi car c’était sous la forme d’une présentation. « Allo, vous faites tous partie de mon renouveau, même si vous m’aimez toujours pas plus. »

Les exemples moins réussis :

– Dans le Metro en ce moment, on peut lire sur un poster jaune « Attention, les cils extrêmement longs peuvent se prendre dans la porte du Metro » (désolé, je cite de mémoire). En débarquant dans quelques stations du réseau, McGill notamment, on peut voir le poster d’une marque de mascara pour avoir des cils extrêmement longs avec la même typographie et le même jaune. Ça pourrait être une campagne réussie si la joke de cils dans la porte ne serait pas aussi simpliste et plate.

– Vous savez les posters partout dans la ville avec une personne et la mention « Illimité ». En revenant du travail cette semaine, je vois finalement la conclusion. C’était 40$/mois appels et texto pour un cellulaire. Même si c’est un bon deal en soit pour les grands utilisateurs de cellulaire et que la compagnie est nouvelle, j’ai trouvé ça très peu pertinent pour une campagne du genre. Quand t’as un bon deal, t’as pas à me l’annoncer comme si c’était une révolution, envoie moi le d’une façon claire et je ferai le reste si je suis intéressé. 30$ j’dis pas…

J’arrête ici.

À suivre. (Non)

PS. Mon ancien coloc Deze a son propre blog sur la publicité à www.martindesaulniers.com

Société, Voyage

Chutespotting

Ma mère profite des chutes de Notre-Dame-de-Montauban environ 15-30 fois par années depuis les dernières années. C’est un lieu facile d’accès, paisible et vraiment beau. J’y étais allé pour la première fois en octobre dernier. J’avais été séduit par la pureté des lieux, même si c’est mélangé à de grosses passerelles métalliques pour bien accéder à la section des rochers du milieu.

Il y a un projet de barrage sur ce domaine depuis des années et c’est en ce moment que ça se passe. Il y aura un référendum sur le sujet.

Un article sur la pétition requise pour le référendum dans l’Hebdo du St-Maurice. La photo risque d’être familière avec mon nom caché un peu partout…

Un autre article dans l’Hebdo Mekinac-des-Chenaux avec en bonus Iphigénie encouvertée qui regarde la rivière.

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N'importe quoi, Société

HyperLULz et très longues déblatérations générales sur le monde de la pub

Je n’avais pas fait de retour sur le concours Hypercube parce que je n’ai visiblement pas gagné le char en fin de compte et que j’étais très zen par rapport à tout ça. Je me suis pointé le 23 juin au Club Soda pour le dévoilement des gagnants avec un ami d’Ontario et ma blonde et j’ai passé une bonne soirée. hypercul
Dès que c’était fini, on est parti en vélo à l’Autre St-Jean pour voir la fin de Malajube. Concernant Hypercube, je n’avais rien à décrire qui n’était pas écrit ici par un stratégiste internet ou par un des participants qui offre son analyse de la valeur monétaire de son travail dans le concours. De toute manière, j’en avais déjà assez parlé sur Facebook et Twitter sur une longue période de temps d’environ 2 mois. Mais hier, il est arrivé quelque chose. J’ai reçu un lien web vers un compte rendu du concours que j’ai trouvé bien étrange et ça m’a donné envie de parler. Attention : plus que 2500 mots.

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