Sorties et bière

La semaine de la poutine.

J’ai bien poutiné finalement pour la semaine de la poutine à Montréal entre le travail à temps plein de jour, le contrat urgent en soirée, la pseudo-gastro, le froid intense et tout le reste.

J’ai pu essayer :

Poutine on the beach de Namos.
Frites faites maison. Sauce à la viande Kima. Fromage Kefalotiri. Copeaux de fromage.

Restaurant Grec avec service de valet qui offrait une très bonne poutine à la sauce tomate à la viande. Si je suis vulgaire comme Francis, je pourrais dire que c’était une bein bonne poutine italienne. « Valet, allez portez ma voiture pendant que je mange de la poutine à 5$ ».

La poutine Syrienne de Tazah.
Jarret d’agneau. Fromage syrien Akkawi. Graines de grenade. Ail. Persil. Jus de citron

J’ai pas pu essayer avec mon jeûne dû à un estomac en tempête mais j’ai regardé Iphy apprécier la poutine et ensuite la trouver trop salée. Super belle en apparence (Iphy et la poutine) et il parait que le fromage était génial. Faut que je retourne manger là pour le reste du menu.

La poutine pulled pork de La Mauvaise Réputation
Porc effiloché. Oignons caramélisés. Salade de chou. Pailles fumées.
et
La poutine au boeuf braisé
Lardons. Champignons. Oignons piquants.

Ah ouais, un beau petit nouveau resto-bar. J’aime bien l’ambiance. Brasseurs illimités leur ont même fait une bière maison en bouteille. La pulled pork a vraiment un goût particulier qui vient des épices et/ou de la salade de choux. Nous aimions cette poutine en dépit du fait qu’Iphy comparait ses bouchées à « croquer des aisselles de Pakistanais ». La poutine au boeuf braisé est vraiment très bonne.

La méchante poutine de Méchant Boeuf.
Saucisse maison farcie au Oka. Flanc de porc confit. Oignon en tempura de bière.
et
La poutine au rôti de palette braisé style bourguignon.

La première était un délice en tout points de vue tandis que la deuxième était coriace à finir vu l’épaisseur de la viande, la quantité de sel et la richesse de la sauce. Pour dire vrai, les deux étaient difficiles à engloutir.

GOPR0061_webDu beau challenge comme on l’aime.

La poutine Gueule de bois du Burgerbar Crescent.
Frites fraîchement coupées. Fromage en grains. Sauce à poutine faite maison. Champignons sauvages sautés de la colombie britannique. Huile de truffe. Un oeuf frit.

Nous nous assoyons et la serveuse nous apprend que le restaurant a servi 10 kilos de champignons sauvages dans près d’une centaine de poutine alors il n’en reste plus. On se dit alors que nous n’avons pas trop le choix de passer au restaurant suivant sur notre liste, le M:brgr, mais la serveuse revient soudainement pour nous dire qu’ils peuvent encore faire 3 poutines.

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Bein HOLY SHIT. C’était la meilleure de la semaine.

Sorties et bière

Noël dans la bouche, part 3

Pour finir le temps des fêtes c’était au Brouhaha que je devais passer pour complèter mon voyage de bière de Noël.

La Résurrection de Broderus – Saison – Dunham et Andreas Kissmeyer
Plus sucrée en fût qu’en bouteille ?

Messe de Minuit – Belge forte épicée vieilli 1 an – Brasseurs du Temps
Costaude, presque fumée. Pas si enchantant que ça.

Barley Wine Anniversaire – Vin d’orge – Brasserie Dunham
Ça aussi c’est costaud.

Sang de Lutin – Saison festive – Brouhaha
Toujours aussi fruitée et épicée.

Réserve de Noël – Les Trois Mousquetaires
M’apparaît moins équilibrée en bouche en fût que ce que j’ai eu en bouteille. Là c’était liquoreux, très épicé et presque amer. J’dis ça mais c’est un délice !

Yule – Bière de noel – Hopfenstark
En fût, non chauffée, c’était un délice. Je ne sais pas si c’est parce que l’édition 2012 s’est améliorée mais je n’ai pas tellement détecté toutes les reproches faites à cette bière.

Grivoise de Noel – Belge forte épicée – Le Trou du diable
Équilibre parfait entre les sucres, les épices et l’alcool. Immensément buvable.

Solstice d’hiver – Vin d’orge – Dieu du Ciel!
Un classique ; complexe et délicieuse. Je l’ai aussi essayé houblonnée dans le Randall. Pas mauvais du tout.

Sorties et bière

Noël dans la bouche, part 2

Je m’adonne à être passé au Saint-Bock pour le 20ième anniversaire du Mondial de la bière et c’était un spécial Noël avec la première bière offerte et les suivantes à 7$.

Noël de Baladin (vanille) — 9 %
Overdose de vanille pour Iphy. Amusant et goûteux pour moi.
Winter Beard de Muskoka — 8 %
Bien équilibrée, stout à la canneberge subtile. De loin la plus belle bouteille de la soirée.
Abbaye de St-Martin Cuvée de Noël — 8,5 %
Un pain au bananes en liquide. Très très bon.
Carolus Christmas — 10,5 %
Énormément de saveurs, une des meilleures de la soirée. Du bonbon foncé.
Tongerlo Christmas — 7%
Une pale ale belge assez bonne. Rien pour rappeler spécifiquement Noël dans le goût par contre.
Noël Christmas Weihnacht — 7,2%
Pas excellent. Bière claire à l’arrière goût de métal.
Abbaye du Val-Dieu Bière de Noël — 8,5%
Une triple Belge d’une grande qualité.
Tourney de Noel — 8,2 %
Beaucoup de goût. Feeling de Noël avec arômes de fruits confits, épices et de ginger bread.
St-Feuillen Cuvée de Noël — 8,2 %
Un délice. Arômes d’épices excellentes, mais peut-être trop sucrée?

On a tout essayé.

Sorties et bière

Noël dans la bouche

Samedi soir j’étais au Brouhaha pour goûter au Sang de lutin, une excellente saison épicée festive aux canneberges à 8% d’alcool. On a aussi pris un verre de la même bière mais passé dans le Randall avec du gingembre, des piments habaneros et du poivre voatsiperifery le tout houblonné aux houblons Perle et Sorachi Ace. Le serveur nous a dit que c’était juste pas buvable à cause du piment et qu’on ne devrait pas la prendre, ce que Iphy a vu comme un challenge à relever à la grande exaspération du serveur.

Oh ciboire, c’était intense.

Première gorgée, je détecte le poivre et le gingembre, je goûte encore un peu le sucré dans la canneberge à travers tout ça. Tout est acide et piquant. Le houblon se fait détruire par les piments et n’est déjà plus détectable. Deuxième gorgée ; le piment s’intensifie dans ma gorge et c’est le poivre qui disparait mais le gingembre est encore présent au goût. Troisième gorgée, le piment gagne et oblitère tout le reste. Je prends une pause et prend des bouchées, maintenant épicées par ma bouche, de ma poutiflette. On a fini ce verre comme des grands.

Pour le reste j’ai ces belles bouteilles qui m’attendent pour les prochains jours :

Dunham / Kissmeyer, The Second Coming of Broderus
http://www.ratebeer.com/beer/dunham–kissmeyer-la-resurrection-de-broderus/193662/
Christmas Saison brewed with a bit of maple syrup and pomegranate, gently spiced, fermented with farmhouse yeast and brettanomyces.

Les Trois Mousquetaires, Réserve de Noël
http://www.ratebeer.com/beer/les-trois-mousquetaires-gc-reserve-de-noel/192157/
Spiced red lager.

Le Castor, winter dubbel
http://www.ratebeer.com/beer/le-castor-dubbel-dhiver/194134/
Organic, with dried raisins.

Sorties et bière

Partir n’importe où édition l’Assomption

Un samedi après midi avec l’envie de sortir de Montréal mais pas le temps d’aller trop loin. Prétexte pour aller à la microbrasserie Hopfenstark et se faufiler sur le bord de la rivière l’Assomption pour constater que le niveau de l’eau était bas.


On a pas mal tout goûté ce qu’il y avait au tableau. J’ai adoré la end of the trail alors qu’Iphy s’est bien fait surprendre par la délicieuse Boson de Higgs. J’adore ça que le Centre National de Recherche Nucléaire a dédié un petit article à cette bière.


Les grosses pièces de viande des deux gars à côté de nous. Tous les samedis, le brasseur de Hopfenstark fait un BBQ dehors.

N’empêche qu’on ne savait pas ça et qu’on avait préalablement très bien soupé à l’Ange Cornu.

Jolie déco que ma photo avec mon Picsio à 70$ n’aide pas beaucoup.

Sorties et bière, Voyage

Partir n’importe où édition Oh Canada

L’an passé pour le 1er juillet, nous étions à Fredericton sur le chemin du retour d’une grande virée qui nous avait fait passer par la Gaspésie, la Baie-des-Chaleurs, le Nouveau-Brunswick, l’I-P-E et les Iles-de-la-Madeleine. C’était bien la première fois qu’on pouvait assister à la fête du Canada avec des gens qui ont envie de fêter. Fredericton ça se veut très british et rigide, surtout en comparaison avec Moncton qui est une ville assez laide mais pleine de chaleur cajun. Cette année, la curiosité nous a fait prendre la direction d’Ottawa.


Premier arrêt à Rigaud pour la microbrasserie Le castor qui venait à peine d’ouvrir ses portes. Une belle énigme routière pour trouver la microbrasserie avec un GPS confus, des routes fermées à cause des constructions et une entrée d’autoroute qui semble être la seule destination possible. Sans les constructions ce sera bien plus facile : c’est directement sur le bord de l’autoroute 40.


On parle de bière avec le propriétaire et brasseur. On goûte sa délicieuse bière saison et à sa stout avoine qu’il compare un peu à la stout avoine de St-Ambroise mais peut-être plus accessible et complètement bio. On prend un cruchon de sa bière saison. Les deux sont maintenant disponible en bouteille et sont très recommandables.

En retournant sur l’autoroute, nous croisons un auto-stoppeur de Winnipeg qui habite Montréal depuis un moment et qui a voyagé pas mal autour du monde entre les contrats. Il va rencontrer un ami à Ottawa pour la fête du Canada et on lui confirme que c’est notre destination aussi mais que nous avons un arrêt obligatoire à faire sur le chemin et que ça pourrait prendre 1 heure. On lui fait peur en s’enfonçant dans la campagne Ontarienne.

C’était pour Beau’s. Un super microbrasseur chez qui ça vaut la peine de faire un tour. C’est 100% bio et on se sent à la ferme même si les installations sont grosses et qu’elles vont grossir de beaucoup prochainement. Ils brassent 20000 HL par an. 20000 HL c’est autour de la production de Dieu du Ciel et de la Barberie à Québec. À titre de comparaison, le Trou du diable à Shawi est à 1200 HL mais prévois quadrupler sa production d’ici les prochaines années. Le Trou du diable et Beau’s ont collaboré sur une bière d’été à la mangue, une bière très bonne et qui laisserait difficilement deviner qu’elle est à la mangue tant c’est subtil.

Ils fêtaient leur deuxième anniversaire ce jour là et on se joint brièvement aux brasseurs après avoir fait un tour de la brasserie en buvant avec une employée pompette.

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Sorties et bière, Voyage

Partir n’importe où édition Beauce

Pas d’appareil photo pour un voyage ça va faire un résumé plus bref. Ou pas.

Le 23 au soir, on profite de l’autre St-Jean. Toujours bien programmée et diversifiée. On aime toujours Socalled, Plaster et Malajube.
Le lendemain matin, sans perdre de temps c’est direction les cantons de l’est et la Beauce.

Parce que.

Premier vrai arrêt au Camping Les Berges du Lac la nuit est déjà tombée. On pose notre tente à l’obscurité pendant une interruption de la pluie qui finalement se continuera jusqu’à notre couché. C’est le festival de la ballade nocturne, des guimauves, de la bière sur le bord du feu et des saucisses passées date.

En se levant il pleut en fou. On ne peut pas dire que ça s’est spécialement arrêté avant d’arriver en Beauce. Sur le chemin on se déjeune d’une poutine au fromage frais d’une fromagerie et, plus tard, on constate que Thetford Mines c’est pas un trou mais bien plusieurs trous géants et on en profite pour visiter Musée minéralogique et minier de Thetford Mines. Pas de jokes, on est des vrais touristes. Après on veut voir une mine de plus près mais la route 112 est fermée suite à un éboulement et ne rouvrira probablement jamais. La route passait à côté d’une mine, s’est affaissée, a été reconstruite à une distance jugée sécuritaire et remontre des signes d’affaissement. Tadaaa.

Direction Beauceville en passant par Saint-Éphrem-de-Beauce. Woodstock en Beauce était pour avoir lieu là dans deux jours du 27 juin au 1er juillet. On voit des scènes gigantesques montées pour recevoir Creed et Éric Lapointe (wow hein), on voit des champs et des champs organisés pour le camping avec une poubelle pour chaque petit terrain délimité. On imagine le carnage du terrain après le passage de 70000 festivaliers et on se dit qu’un jour, en dépit de Creed et d’Éric Lapointe, on fera peut-être partie de ce lot.

On traîne peu à Beauceville, et on se dirige plutôt à St-Georges.

Hint : il y a une microbrasserie.

Mais avant on doit se trouver un nouveau terrain de camping et il pleut encore en fou, contrairement au répit qu’on avait eu pour la nuit précédente. On entre dans un kiosque et dépanneur vide et le commis, et probablement propriétaire du camping, nous reçoit intrigué.

« On vient pour un terrain de camping ». « Vraiment? »

En effet, son air étonné en disait long sur la température de chien qu’il y avait déjà et qui nous attendait. Découragé de notre motivation à souffrir après qu’on aille refusé son offre de chalet, il nous dit quand même qu’on pourra se réfugier dans un tipi cette nuit et se faire un feu perso à l’intérieur, à l’abri de la pluie. Je recouvre notre tente d’une bâche qui sent la pisse de chat et nos devoirs sont faits ; direction la microbrasserie la Société.

Nous étions un lundi soir et, même si j’avais de la difficulté à le croire, le spécial du lundi c’est 50% sur tout le menu, sauf les entrées et les desserts. Ça te fait un surf & turf de 10$, une assiette complète avec un hamburger de luxe (bacon, cheddar fort et pommes de l’Île d’Orléans) pour 6$ et des pichets à 7$.

OPULENCE.

Fin de soirée en amérindien dans un tipi à faire cuire de la guimauve. Il pleut.

Le lendemain matin, il y a des limaces partout sur la tente. Il y a une limace dans mes souliers.
Il pleut. On déjeune chez Francine, et c’est Francine qui nous sert. Francine doit bien dormir derrière le comptoir. Je m’émerveille de l’épicerie/marché Les Pères Nature (hey, c’est ça du tourisme de pluie torrentielle en région quand t’as pas d’imperméable ; visiter des épiceries).

On part à Lévis et on chill au vent sur la terrasse de Lévis en pensant à la microbrasserie Corsaire, à quelques pas de là, prête à déménager de Lévis à cause de propriétaires de condos fatiguants qui n’aiment pas les terrasses près de leurs condos bidons, entre autre.

Sorties et bière

Connaitre son Québec

Un moment donné ta blonde montréalaise sent qu’elle va capoter si elle reste en ville pour la journée, c’est là que tu essayes de trouver une ville au Québec que tu n’as pas encore pleinement visité pour faire un petit voyage budget. Pour nous ça a été le combo Sorel-Tracy, Drummondville et St-Hyacinthe pour faire une belle boucle sur la rive sud en longeant le fleuve pour ensuite revenir par l’autoroute 20. Bonus X100, il y a des microbrasseries partout sur le chemin.


Tchequebec avec un building qui ressemble involontairement à une caisse de bière.

Une seule bière de style Européenne basée sur la pureté. L’histoire du brasseur sur ce vidéo est comique. Faut sauter à 5:50 par contre et pas trop penser au fait que ça fait 25 ans qu’il est au Québec et qu’il fait son entrevue en anglais. Je fais mon difficile, je sais.

À Sorel-Tracy après voir passé à travers les nombreuses usines il y a le Loup Rouge, basé sur le nom de Wolfred Nelson. Arrêtez d’appeler vos enfants Wilfred comme à Star Academie, Wolfred ça donne bien plus d’attitude. Comme c’est fermé le dimanche nous n’avons fait que du lèche vitrine. Le centre-ville était DÉSERT.


J’espère que ce marché là est animé tous les étés parce que c’est bien situé et c’est sympathique.


Couché de soleil, on part vers Drummondville.

Drummondville. Après avoir déambulé au centre et exploré un parc sombre qui mène vers l’eau, je n’ai pas vraiment d’anecdote, pas tellement de photo, mais on veut aller au village Québécois d’antan un jour. Rire, ou non.


Ya un party, mais ton chien est pas invité.

St-Hyacinthe et son coquet et très chic centre-ville mélangé à des gens qui règlent leurs problèmes de divorce en parlant fort au téléphone nous accueille. La cible c’est le Bilboquet, je n’ai pas pris l’adresse en note et ça nous donne une bonne occasion de marcher, et chercher, un peu partout.


Oh oui ; belle déco, excellentes bières, bon service, bons prix et la possibilité de jouer avec un vrai bilboquet en bois pour tout détruire.

Mission divertissement hors Montréal accomplie, on revient au bercail.

Sorties et bière

Nouvelles microbrasseries

L’espace public c’est une chouette nouvelle microbrasserie dans Hochelag à 7 minutes de la station Joliette, mon ancien coin, qui a jusqu’à maintenant 3 bières maison et de la bière pas toujours facile à trouver en fût de Bilboquet, leur lieu de brassage en attendant de tout brasser sur place à Montréal. À ma première visite il y avait la pale ale et la IPA. Toutes les deux étaient bien bonnes, la IPA étant houblonnée d’une bonne manière. Les deux avaient la tendance à être tellement gazées qu’elles pétillaient la langue comme du Perrier, ce que je n’ai pas trouvé néfaste à ce moment là vu les saveurs. À ma deuxième visite ces deux bières étaient liquidées et il y en avait une nouvelle. L’endroit est pour l’instant un endroit sans bullshit ; pas de bouffe et pas d’accessoires décoratifs majeurs à part pour les toiles qui forment la gallerie d’art. L’horizon est rempli de bières, de bancs, de tables hautes, de manteaux d’hiver qui traînent et c’est bien parfait comme ça.

Les Soeurs Grises ce n’est au contraire pas un « watering hole » proprement dit ; pas de grosses pintes et prix peut-être adaptés aux proprios de condos avoisinants. Belle déco et belle sélection qui débute avec la gamme de Dunham. Du menu, nous avons goûté les jarrets et les ribs de qualité, servies sans extra pour un prix raisonnable. Nous y étions un dimanche soir très tranquille et j’essayerai d’y retourner lors d’un évènement pour l’ambiance optimale.


Un raton.

Sorties et bière

Nuit blanche

À chaque année je remplis ma nuit d’activités et il y a clairement eu un recul de la nuit blanche au niveau des heures. Avec le déjeuner Desjardins qui n’existe plus et Art souterrain qui est passé de 5h du matin à 3h du matin c’est difficile de dire que c’est une vraie nuit blanche. 3h c’est l’heure habituelle de fermeture.

Cela dit, il ne manque pas d’activité pour que ça soit une nuit de course remplie et hallucinante.

15h00 – 16h00 : Lumière noire au Bain mathieu.
Exposition d’art fluorescent se déroulant simultanément dans 2 salles. Comme ça commence tôt, c’est l’occasion d’aller virer au Métro Frontenac sans manquer une autre activité.
16h30 – 18h00 : Longue marche dans le Vieux-Montreal d’est en ouest. Pour Pop Explosif et éventuellement se rendre à DHC-Art. Souper c’est une bonne option aussi.
18h00 – 19h00 : Phi Centre et DHC-Art
19h00 – 20h00 : Montreal souterrain. Entrée Palais des congrès vers le centre de commerce mondial, la tour de la bourse, la place Bonaventure, la gare centrale, la Place Ville Marie et sortie Centre Eaton.
20h00 – 21h15 : Spectacle de Branvan 3000 et site extérieur de Montréal en lumière. La glissage, les scènes, le dôme RBC et la Place des arts avec Cease par exemple.
21h15 – 22h00 : Passage au Metropolis et à Fresh Paint et retour vers Zone UQAM avec Pompomwars, Trame, Promiscuité artistique, Shebam et Émergences.
22h00 – 00h00 : Kino RVCQ avec 30 films hommage au cinéma québécois à la place Pasteur juste à côté de Berri. 30 films de 3 minutes max.
00h00 – 01h00 : Société des arts technologiques. DJ Champion + Vj jocool dans la Satosphère que je n’ai pas encore vu. Stations de jeu, bubble tea, sushis et compagnie sous un thème japonais. Pixelfest au 2.22 en passant.
01h00 – 02h00 : Belgo et ses nombreuses galleries avant de fermer à 2h + Le Gesu avec Lueurs et éclats.
02h00 – 03h00 : Visite à Karnival V.16 au Club Soda et passage au Metropolis.
03h30 – 05h00 : Café Campus, soirée de danse dans le décor de … Tintin.

À ce moment là je devrais aller me coucher parce que le dimanche on glisse à St-Jean-de-Matha. Un autre bon prétexte pour sortir de la ville de temps en temps.