Film

Kino Kabaret de Melbourne 2021

C’était épique de faire un Kabaret Kino avec Filmonik alors que les restrictions étaient extrêmement minimes. En fait c’était presque impossible de remplir le Kinolab au dessus de la limite covid-safe et on pouvait remplir à 100% la magnifique salle de cinéma à Hoyts pour la projection gala finale. Ça a été un gros succès et c’était complètement fou dans un espace zéro-covid. C’est encore plus fou considérant que nous sommes en hard lockdown en ce moment 1 mois et demi après. Aftermovie que j’ai tourné / réalisé / édité.

La cuvée 2021 des courts métrages était spectaculaire et super variée. J’aurai sûrement plus à raconter bientôt mais je me limite à ça pour l’instant.

Film

Le meilleur du lockdown, et des Kabarets

Les haikus sont la compilation de tous les très courts métrages de 17 secondes qu’on a fait dans nos Filmonik Melbourne Kabaret et Kino Sydney Kabaret depuis 2017. J’ai passé de bonnes soirées à soigneusement ré-emballer ça dans une compilation. Je ne peux pas dire que tous les haikus était dans un bon état ou prêt à être utilisés donc ça a été du gros travail mais ça vaut tellement la peine pour un délire du genre. Pour moi, c’est ça l’esprit des Kino Kabarets (oui, oui, on a toujours besoin de films épiques et lèchés mais les niaiseries sont essentielles). Bande annonce des haikus sur Filmonik.

Kubicles ça c’est un délire de lockdown. Nos soirées mensuelles sont évidemment devenues des shows en live stream et durant mars et avril certains de nos réalisateurs ont été inspirés et ont fait des films en isolation mais dès le mois de mai ça s’est vraiment essoufflé et moins de courts métrages était produits et soumis. C’était simplement que notre communauté avait besoin de produire du nouveau ensemble, pas simplement de se retaper des vieux films en live stream ou essayer de trouver inspiration en lockdown après 5 mois. On a donc lancé Kubicles, mon concept mettant en vedette des habitants de milliers de pièces cubiques sans fenêtres et sans portes. Chaque réalisateur devait raconter une histoire de 30 à 60 secondes se passant dans un seul cube et terminer en parlant à un voisin de cube à travers le mur. Ce voisin, le réalisateur suivant, devait alors continuer l’histoire sans pouvoir reparler au personnage du cube précédent. Bref, un réal lance un commentaire à travers le mur, le réal suivant l’écoute, réagit, et se lance dans ses propres péripéties et histoire.

9 exemples de ce que se faisait remettre les réalisateurs pour débuter leur segment; une réplique qui vient d’un mur, du plafond ou du plancher et l’orientation qu’ils doivent prendre pour continuer le film.

J’ai adoré le résultat. C’est abstrait et drôle juste comme il faut et chacun y apporte quelque chose de spécial mais surtout ça nous a tenu occupé et réunis virtuellement. On remarque aussi des thèmes émergents complètement par hasard comme jouer à Solitaire et les chiens. Vidéos embed après le saut.

Continue reading
Film

Rage au manche

Air rage c’est mon film de Kabaret le plus comique des dernières années avec une bonne dose de rage au manche à balai au lieu de rage au volant. Fait en 72 heures dans le Kabaret de Kino Sydney en 2018. J’ai eu un peu de succès avec dans les festivals dans les environs comme:

  • Kino Red Dot, Singapore. March 7, 2018. Asian Premiere.
  • Setting Sun Short Film Festival, Melbourne, Australia. April 27, 2018. Australian Premiere.
  • Filmonik Melbourne, Melbourne, Australia, January 23, 2018. Sneak preview.
  • Sydney Indie Film Festival, Sydney, Australia. October 27, 2018. Official Selection.
  • Kino Sydney #131, Sydney, Australia. September 25, 2018.
  • West Side Shorts, Williamstown, Australia. August 19, 2018.
  • Coal Coast Film Festival, Thirroul, Australia, March 9, 2019.
  • Dunedin International Film Festival, Dunedin, United States. January 13, 2020. Official Selection.

J’ai été inspiré par le Airbnb dégeulasse qu’on a loué en groupe dans Saint Peters et qui était directement en dessous d’un corridor aérien de l’aéroport de Sydney. J’ai filmé le film un peu à la dernière minute en passant proche d’abandonner; ma manière typique de procéder durant les Kino Kabarets on dirait. Du gros n’importe quoi qui a profité de quelques projections en festival.

Film ici en gros Québécois: https://vimeo.com/388985048

Continue reading
Film

Iphy et moi dans un film

Epitome of idiosyncrasy c’est un petit documenteur créé pendant le Kabaret 2019 et Lizzie avait besoin d’un couple plus âgé pour jouer ses parents. C’est ça notre casting maintenant. Pendant le Kabaret j’ai finalement accepté de faire le montage aussi juste avant la projection. Ça a été bien reçu pendant le Kabaret, et ça rejoue le 14 janvier à West Side Shorts et le 23 Janvier à Studio 66 Film Nights. Personne qui lit ça en Français ici va assister aux projos live à Melbourne donc voilà le film:
https://vimeo.com/373114202

Continue reading
Film, Job

Kino Kabaret Melbourne 2018

OMG OMG, on a fini la paperasse pour faire partie de Melbourne Fringe à la dernière minute. Fringe est pas mal gros à Melbourne et on a eu 2 projections régulières faisant partie de Fringe en 2014 et 2015. Je pense que c’est un bon match au niveau des philosophies. Sauf que Fringe c’est une grosse machine avec un ticketing system et pas mal d’employés et bénévoles. On va voir comment on s’en sort. On a eu 3 invités internationaux l’an dernier et 5 invité interstate. Ça serait malade si on peut battre se record là.

C’est le look c’t’année.

Faut que je travaille sur la bande annonce. J’ai un bon script et ça pourrait être épique. Mais ça sera jamais aussi épique que cette bande annonce du Kabaret à Caen. https://www.youtube.com/watch?v=uMZS5xxcBXs Bein voyons donc.

Film, Voyage

Souvenirs de Bruxelles, partie 2

Le concept c’est que Promotion est passé à Kino le vendredi 8 juin et qu’il est disponible sur mon Vimeo ici.

IMG_3278
Suite du texte : Promotion venait d’être présenté la soirée du 1er mai 2011 à Bruxelles. Le lendemain je me réveillais avec la liberté de faire un peu n’importe quoi et d’aider tout le monde. Les derniers jours avaient été terribles, avec l’angoisse d’une nuit blanche à monter un film qui m’apparaissait beaucoup trop décousu jusqu’à ce qu’il prenne vie tout seul quelques heures avant la projection pour être au moins à un niveau satisfaisant et pour être bien reçu devant le public.

Je dors chez Thomas. La Maison Communale de Saint-Gilles est toujours sur mon chemin pour aller vers le Kinolab mais aujourd’hui elle est plus agitée.
IMG_3172

IMG_3241_sml
Westmalle, trop bonne pour une fraction du prix qu’on la paye au Québec, sur la place Flagey juste avant de tourner le film Brutine, juste pour le fun. Bière.

IMG_3303Se retrouver sur le tournage de Sacha Brodeur pour son film Tchapito.

Film complet sur https://vimeo.com/51816532.

IMG_3312_sml
Pour le peu qu’on me voit.

IMG_3261
22h le 2 mai, après réception des films développés sur pellicule super16.

IMG_3361
Montage vidéo de Brutine, Grimbergen et frites en vue d’une projection à la soirée Kino(b), la vraie cellule Kino en place à Bruxelles à l’année, le Kabaret International étant un événement spécial pour le Brussels Short Film Festival.

Le soir juste avant la projection, Philippe Toupin a besoin de support et un monstre de film étrange se fait créer toute la nuit par la délégation québécoise. Mon prochain post va être juste là dessus. C’est un film qui ne verra peut-être jamais le jour…

Film

Kino nomade.

Pour voyager à travers le monde avec des courts métrages fait dans les nombreuses escales de Kinomada demain soir il y a un petit événement dans le Vieux-Montréal. Après les Rendez-Vous du Cinéma Québécois et Kino, ce sera la troisième occasion Montréalaise de voir Sinusoïde sur grand écran (même si j’ai aucune idée de la taille de l’écran à l’Espace cercle carré).

Lien vers l’événement sur Facebook

Pour plein de bons courts et une bonne dose de course à Québec et de coeur juteux en gros plan avec Sinusoïde.

Film

Abitibi avec des Kinoïtes.

Pour une première virée en Abitibi le scénario était idéal ; logé et nourri dans un festival de film, avec des amis, avec une voiture de courtoisie et dans le but de produire un court métrage. Une conduite qui m’a apparue moins longue qu’elle était en réalité nous a fait passer par Mont-Laurier, où j’ai mangé une poutine d’épicerie et où Charles-Louis se régalais des gens pas très jolis. À Val d’or, on a pu voir ce que ça faisait quand tu foutais un cratère lunaire géant dans le milieu d’une ville. À Malartic, on a pu voir le mur de gazon comique qui sert à ne pas voir la mine géante qui a fait que 1/3 de la ville a été déplacée.

IMG_0232
Fallait bien venir dans le nord pour réaliser que la première neige c’était déjà chose du passé par ici.

Nous prenons possession de nos chambres. Le lendemain c’est déjà le rendez-vous de production. Nous sommes le vendredi 28 octobre 2011 et une vingtaine (gros gros max) d’acteurs/réalisateurs/pas trop sûr d’être quoi. Il faut comprendre que le concept de Kino Kabaret à ce moment là n’était peut-être pas très précis pour tout le monde. Pour nous, délégation Montréalaise, c’est clair que nous devions tous nous démener pour livrer un film pour la projection et d’aider tout le monde du même coup, c’est notre engagement. On a créé un choc en disant a certains, hésitants à faire un film, que oui on est là pour tous faire des films. On doit remplir la soirée de dimanche 30 octobre avec des courts métrages ; un max de films, et un max de qualité. Ça donne peu de temps. En exposant mes idées, je me rends compte que seulement une tient la route ; celle d’exploiter le déménagement des habitants de Malartic avec un court absurde sur le sujet. Je mijote sur l’idée.

Vendredi 28 octobre 2011. Midi.

Pour s’inspirer pour des films improvisés, la référence à Rouyn c’est à la Ressourcerie Bernard-Hamel que ça se passe. Du stock louche, il y en a. Du linge, il y en a. De la déco, il y en a. J’achète un casque, j’achète un dossard de gars de la construction et deux décorations de Noël assez grosses. Mon idée se précise alors que je me dis que j’aurai un personnage qui vient démolir une maison alors que l’habitant de la maison n’a aucune idée que sa maison est pour être détruite.

IMG_0240
Le décor impressionnant en face du magasin.

IMG_0246
Simon a des oreilles de lapin. Aucune idée dans quel film ça a été utilisé. Celui de Catherine?

Vendredi 28 octobre 2011. 15h00.

La fourmilière est bien en marche.
DSC01231
DSC01233

17h00

On pogne le van et on part en repérage. Je prends des photos de pelle mécanique et Simon cherche son décor lunaire. Il y a souvent des débris non désirés dans les plans.

DSC01237
DSC01239

C’est pas si concluant étant donné que nous n’avons pas l’éclairage de nuit pour tester son film mais au moins on connait les petits coins qui ont du potentiel.

La soirée est dépensée à travailler à gauche et à droite et voir comment ça roule pour tout le monde.

DSC01273
Team Montréal reste au Kinolab.

DSC01276
OVNIS en devenir sur le plancher pour le film de Charles-Louis.

DSC01290
OVNIS en devenir sur le côté de l’hôtel.

DSC01292
La peinture argentée qui ne sèche jamais sur le plastique mou des OVNIS.

Minuit

Faut trouver un vrai de vrai lieu de tournage pour le film Cosmika de Simon Beaupré.

DSC01334
DSC01340
Ça a un sale look.

DSC01352
Mais le vrai spot c’est ici. Bonjour la lune.

On passe voir Lawrence. Son film prend vie.
DSC01365

Et j’ai de la protection devant ma chambre.
DSC01368

Samedi 29 octobre 2011. 07h00.

Je me lève ce matin là avec l’espoir de trouver une pelle mécanique pour mon tournage. Quelques appels, quelques contacts, mais personne ne peut m’aider. Et au moment où j’aurais été prêt à mettre un peu d’argent pour louer la machinerie lourde j’ai affronté le fait que ces commerces sont fermés la fin de semaine. Je me lance à l’aveugle devant la maison de Jonathan Foucault, le gars qui avait tellement de ressources sur ce shoot là qu’il est automatiquement devenu directeur de production, et me rend compte immédiatement que les voisins refont leur toit. À chaque 3 minutes, une compresseuse fait un bruit monstre d’une durée de 1 à 2 minutes. Le reste du temps, il y a des bruits de fusil à clou dans la toiture. On entend tout ça dans le film et nous devions interrompre les prises dès que la compresseuse, ou qu’importe ce que c’était, lâchait son vacarme dans le voisinage. Pas idéal mais nous n’avons pas le choix. Le tournage à ce premier lieu se passe bien considérant que le dialogue n’existait que sous forme de phrases clés sur un post-it et d’un fil conducteur. Le père de Jonathan interrompt jovialement le tournage pour nous parler de ce qu’il connaissait sur les déménagements miniers en Abitibi. Il dit que ça jouait très dur parfois pour te faire sortir de ta maison ; c’est pas mal le sujet de mon film.

Le deuxième lieu est aussi inconnu, c’est Jonathan Foucault qui s’occupe de ça aussi. C’est le sous-sol terreux d’un bloc appartement dans lequel il y avait déjà eu un dégât d’égouts étouffé avec de la chaux.

DSC01372
Ça c’est plus complexe, j’étalle mes bébelles de Dollarama partout et j’établis les déplacements du personnage. On s’éclaire comme on peut et la poussière et le sable gagnent sur tous nos mouvements et sur tout mon équipement. Ma lentille 50mm faisait un beau bruit de papier sablé quand je changeais le focus. Cette partie là aussi se déroule quand même assez bien et nous sortons au plus vite de ce trou. 6 heures de tournage en tout et c’est un wrap.

En soirée, je tombe cameraman sur la production de Martin Blais qui incarnait le personnage principal de mon film. Il me reconfirme que nous seront dans un party d’Halloween. En étant dans un party et en pouvant dire que j’ai fait quelque chose pour l’Halloween, ça faisait un équilibre de travail versus divertissement vraiment très cool.

Pour ce tournage là ça a été le froid l’ennemi principal des acteurs pour la scène de ruelle. Le résultat est ici : https://vimeo.com/31806729.

Notez que l’actrice n’a pas eu le temps d’enregistrer ses répliques pour le bar… et ça me fait rire à chaque fois. Kino. Il est passé 3h du matin.

Dimanche 30 octobre 2011 11h00

Je me lève et je commence tranquillement à faire mon montage et mes effets et ça dure jusqu’à la toute dernière seconde où il faut livrer nos films pour la représentation en soirée, et même là je squeeze des effets spéciaux pour 2 autres films. On arrive en catastrophe au Cabaret de la dernière chance et nous manquons quelques films, inquiétant probablement l’organisation du festival.

IMG_0394
Le bar est plein, l’ambiance est super.

Je présente Unobtanium : Sur Vimeo
Sur STV

Mine de rien, notre apport au festival était génial. D’un Kabaret qui tenait avec des ficelles, j’pense qu’on a livré un maudit bon show.

Fin de soirée chez Morasse et son panneau qui dit « Meilleure poutine au monde ».
IMG_0400
C’était une belle expérience, mais j’ai eu des frites beaucoup trop rôties et graissées.

Le lendemain, c’est le départ… et j’ai jamais trouvé le temps d’aller à la microbrasserie au Trèfle noir. Mais on prend le temps de s’arrêter un peu à Malartic…

IMG_0418
On est peut-être pas supposé être là près de la mine. Hé bein.

Film

Le Kabaret, des souvenirs dans la tête.

Ça s’est passé rapidement…

Le mardi 9 octobre pendant la journée, j’étais chez Ubisoft. En soirée, c’était le rendez-vous de production du Kabaret Kino 2012. Me fixer sur le projet que je voulais faire et trouver une équipe au complet, c’était mon challenge de la soirée.

Le mercredi 10 octobre j’étais encore chez Ubisoft durant la journée et j’ai tenté d’organiser mes tournages en soirée, mais j’ai plutôt écrit au complet mon scénario qui n’existait tout simplement pas encore. Toujours moins évident pour convaincre des acteurs ; « Hé on va tourner… quelque chose! »

Le 11 octobre j’étais en préparation de tournage l’avant-midi, faire du sang, imprimer les scripts, acheter des vêtements pour le film, préparer des valises de tournage, bâtir les accessoires et ensuite j’étais en tournage dans un restaurant avec 7-8 acteurs.

C’est déjà actif dans le Kinolab.

J’avais réussi à avoir ce lieu, le resto Aka-Fuji, la nuit précédente sans grande confirmation officielle.

En soirée, la scène à filmer se déroulait dans une chambre à coucher avec un lieu que j’avais trouvé une soixantaine de minutes avant d’y mettre les pieds (merci Frank!) et avec des acteurs trouvés sur l’heure du souper.

Le 12 octobre j’étais en tournage à la boutique Eva B de 10h à midi pile.


Perdre un accessoire en tissu dans la piscine de linge = OMG.

Au Parc Lafontaine à se faire surprendre par le froid et à avoir des problèmes de mixette de son…

Et finalement la soirée à tenter d’organiser un tournage nudiste devant greenscreen à l’INIS, à planifier la journée suivante et à chercher une buanderie pour un tournage la nuit même. Buanderie qui s’est finalement trouvée pour le lendemain matin 6h après une virée sans succès dans une buanderie 24h dans l’ouest de la ville.

Le samedi 13 octobre, après une fatigue extrème et une nuit de 3 heures dans la voiture à Iphy en face du lieu de tournage, un bloc appartement avec une buanderie au dernier étage, pour tourner précisément de 6h à 8h.

Tournage de 9h30 à midi dans un appartement et sur des toits de Montreal.

Tournage de midi à 15h au Cléopatre avec une caméra qui interrompt les enregistrements et trop de trucs à gérer en trop peu de temps.

En soirée, un break mérité pour la santé mentale avec deux de mes films, Epique et Dégats d’eau, qui étaient projetés à la soirée Trailers 3 de Spasm.

Le dimanche 14 octobre, T-36 heures avant la projection. Montage, montage, montage, montage, montage.

Pas assez de temps. En soirée il y a la première projection du Kabaret et le Kinolab se ferme. Pas de travail pour personne, on s’en va apprécier le travail des autres.

Les belges en folie.

Ben à la projo.

C’est la projection Huis clos avec entre autre ce film délicieux http://www.youtube.com/watch?v=A_XdLSxKfsM. Cette nuit là, je passe une nuit blanche au montage et Iphy m’aide en faisant du stop-motion avec les vêtements.

Lundi 15 octobre au matin, T-10 heures. Pas un seul effet spécial sous After-Effects de commencé et la « créature » qui est si importante dans mon film n’existe même pas encore. Iphy se trouve des partenaires, Simon Beaupré débarque avec un costume de green screen et tous s’affairent à sauver mon film pendant que je sauve moi-même mon film en faisant un minimum de montage son et d’effets spéciaux pour avoir une version pseudo-présentable la soirée venue.

Bein mission accomplie.

Quelques souvenirs de cette semaine de fou ont été compilés par Patrick Peris dans ce vidéo : http://vimeo.com/52295679

Party!!!!