Film

Kino nomade.

Pour voyager à travers le monde avec des courts métrages fait dans les nombreuses escales de Kinomada demain soir il y a un petit événement dans le Vieux-Montréal. Après les Rendez-Vous du Cinéma Québécois et Kino, ce sera la troisième occasion Montréalaise de voir Sinusoïde sur grand écran (même si j’ai aucune idée de la taille de l’écran à l’Espace cercle carré).

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Pour plein de bons courts et une bonne dose de course à Québec et de coeur juteux en gros plan avec Sinusoïde.

Film, Voyage

Souvenirs de Bruxelles, partie 1

Vendredi prochain je présente Promotion à la soirée Kino Montréal, c’était mon premier film fait en Europe en 2011 et, grace à une musique composée récemment par Julien-Robert Legault Salvail je peux prétendre que le film est terminé, ou sur le point d’avoir une version finale basée sur sa réception à la soirée Kino. Des fois faut être patient pour recueillir toutes les variables pour finir réellement un film. Ça me donne envie de me rappeler rapidement comment ça s’est passé.

Première visite en Belgique à vie, quelque part en avril 2011. Premier Kabaret Kino International.
Deuxième visite en Europe après Berlin. Ça fait de la nouveauté en bloc dans ma vie et en plus je dois pondre un film.

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Réalisateurs de Kino du Québec un peu perdus et fatigués en sortant de l’avion.

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Bien fatigués pendant le trajet.

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Bien fatigués au bureau pour prendre nos chèques de subvention.

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Bien fatigués à la banque pour s’ouvrir un compte et encaisser les chèques de subvention.

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Liberté dans la ville. Tout est beau pour l’étranger que je suis.

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Bein c’est nous ça.

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Le premier rendez-vous de production où on se présente à tour de rôle et que je ne réalise pas encore (kétainerie suprême) à quel point plusieurs des gens qui se présentent deviendront de bons amis ou joueront dans mes films dans les années suivantes.

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Fatigués dans le premier rendez-vous de production.

C’est probablement la fatigue ou l’inconscience qui me fait accepter de présenter un film à la première projection sur 3 projections Kino à 2-3 jours d’intervalle, me laissant le 28 avril, 29 avril, 30 avril pour écrire, tourner et monter un film présenté le dimanche 1er mai 2011 en soirée. C’est faisable en restant simple.

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Écriture de scénario au Belga le 28 avril en après-midi. Je ne savais pas encore exactement de quoi était pour parler mon film mais ça s’est précisé à ce moment là. Je voulais parler de crise financière, de perte en qualité de vie, en fraude d’assurance, de pressions sociales, etc.. Un gros mandat et le genre de sujet qui devient rapidement maladroit ou brouillon en court métrage. Mon script n’était pas pour avoir de révision et j’avais beaucoup de choses à trouver et je voulais commencer à tourner le soir même. Finalement, c’était pas simple du tout mon affaire.

J’aurai besoin d’un bureau, d’une salle de conférence, d’une piscine, d’un appartement, de 4 acteurs, d’un nightclub, et d’un paquet de bars. J’en avais besoin la soirée même.

Heureusement, Thomas Leruth le héros Belge est l’acteur qui m’héberge à Bruxelles et comme je suis un des premier réalisateur du lot à tourner mon film il est immédiatement disponible pour se dévouer à mon film. Je lui réserve les soirées du 28 avril et du 29 avril, et la journée du 29 avril. Si je ne commence pas mon montage le 30 avril au matin, c’est vraiment pas bon signe pour une projection 30 heures plus tard.

Le 28 avril en soirée on part en pub crawl pour toutes les scènes où le personnage de Thomas boit pour se défoncer. Comment joindre l’utile à l’agréable.

Agreable
Bien agréable. On a viré la ville à l’envers.

Des histoires d’ex dans les mêmes bars que nous. Tribulations amoureuses. Une fin de soirée à crier des « Je t’aime » dans la rue (pas moi). Plein de trucs vraiment spéciaux. C’était juste le début du tournage.

Après 2 heures de sommeil, le 29 avril à 8h du matin, je fais le tour du voisinage pour trouver un bureau et une salle de conférence pour poursuivre mon tournage. Sarah Rondao Pestana, qui aide les réalisateurs au Kabaret, me déniche quelque chose au 3ième étage de notre Kinolab. Thomas est en retard de 70 minutes mais c’est pas hyper grave car j’ai Michel le Mutin, qui a une conversation avec Thomas dans le bureau, qui fait ses répliques seul sans Thomas. Je n’ai toujours pas trouvé de piscine et comme le concept de mon film repose un peu sur l’eau et une piscine, je serais vraiment mal foutu de ne pas en trouver une. Légalement c’est hyper compliqué, j’aurais dû pouvoir demander permission 2 semaines à l’avance pour ensuite me perdre dans des dédales de paperasserie, de papiers à signer, et d’assurances à acheter. Je devais trouver quelque chose de vite et simple. Il faut dire qu’à l’ère moderne filmer incognito dans une piscine publique ça rend les gens très mal à l’aise aussi. Comme si tout les gens étaient des pédos. J’avais juste besoin du visage de Thomas sous l’eau.

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Fast-forward de tournage dans la ville et sur les terrasses.

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Le soir venu, nous repartons dans un pub crawl pour tourner les scènes finales dans un bar/discothèque. C’est encore le festival des tribulations.

Le 30 avril, je ne suis plus supposé tourner de scènes mais il m’en reste encore. Une actrice se joint à mon film pour tenir le rôle de la copine du personnage de Thomas. Pendant une scène de conversation téléphonique avec Thomas, elle reçoit, pour vrai, un appel qui lui apprend que son vrai père est dans le coma. Elle s’écroule en panique en plein milieu de la place Flagey. Scène de la vraie vie déchirante qui a mis un frein majeur à mon film. Honnêtement, à ce stade là je ne pensais même plus au film, la priorité c’était maintenant de s’occuper d’elle. 1h-2h plus tard, Géraldine Denis l’organisatrice du Kabaret Kino à Bruxelles, remplace l’autre actrice pour la courte scène. En revenant au Kinolab, Sarah Rondao Pestana m’apprend que son père qui donne des cours à la piscine communale d’Ixelles peut me faire entrer subtilement, au même moment presque, Thomas arrive d’un autre tournage et m’apprend qu’il a 2 heures de pause que je réquisitionne pour faire les derniers plans de mon film. Pas de maillot de bain, pas de casque de bain. Le père de Sarah me prête un speedo. Nice, des trucs miraculeux se mettent en place pour que je finisse mon film à travers les très mauvaises nouvelles. Tout est bizarre mais je continue.

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Nuit blanche de montage et ce que j’ai tourné dans la piscine fonctionne pas pire.

La journée avance et je livre une version du film juste à temps. C’est laborieux, j’ai passé la nuit à me demander WTF c’est quoi mon court métrage.

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Devant la salle de projection avec une foule monstre qui représente environ le double de la capacité légale de la salle. Une deuxième représentation est ajoutée le même soir directement après la première.

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Je suis zombie et je manque de sommeil. Les films s’enchaînent et je vois de bien belles choses. Promotion passe en dernier complètement. Le film est très bien reçu vu le rythme, la contrainte de temps que tout le monde connaissait et la thématique un peu plus comique que plusieurs autres films de cette soirée là. Je suis étonné que ça passe aussi bien. Pas sûr que ça va passer aussi bien à Kino 2 ans après même en l’ayant retapé au grand complet récemment.

C’est ça le test! J’ai hâte de voir. À vendredi le 7 juin à Kino au Théatre Rialto.

Disons qu’après la projection, j’avais l’esprit à la fête et j’étais libéré de mon obligation principale au Kabaret.

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Boute-en-train

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Le chapiteau du festival avec de la Chimay en fût. Il s’en est fini des soirées là…

Film

Kino à ne pas manquer

Tsé des fois je présente un film. Des fois c’est un film pas pire pentoute. Pis après j’essaye de le soumettre à des festivals. Ça marche bien, ou ça marche moins bien. Des fois le film est juste pas majeur. 1 ou 2 ans après, je finis par le mettre sur Synaptic.tv.

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Vendredi soir. C’est Sinusoïde. C’est mon petit préféré de la dernière année. Ça va être présente à Kino. Après le passage du film à Interfilm à Berlin au RVCQ et au FCVQ, j’ai même retapé la colo, refait des effets et coupé quelques frames. Je ne suis pas trop nerveux. Mais j’ai bien hâte de le présenter. Je suis content. Ça me ressemble. L’export final est en train de sortir pendant que j’écris ici. Pis la musique de Aliceffekt est juste malade. Mais anyway, c’t’un génie, c’pas compliqué. J’suis sûr qu’il code dans ses rêves.

Et pis voilà. Il y a un défi mensuel aussi. C’est un défi de film chorégraphique. Je m’étais lancé il y a 2 ans précisément dans cet espèce de tournage sur une montage de ski. Nous sommes arrivés à Gore à 2h de la fermeture avec des billets gratuits dans une saison presque terminée. Ça fait du tournage short and sweet ça. Le mois dernier. 2 ans après. Sans avoir réellement pensé à comment je ferais suite à ce tournage. La gang de Kino annonce le thème du défi que je n’avais pas entendu avant. Faute d’avoir été absent au meeting. Je flashe bein raide. 1+1. La suite de mon film à Gore c’est pour être une chorégraphie. Je call Simon Beaupré que je sais qu’il détient deux éléments dont j’ai absolument besoin. Je lui dis ce que je veux faire. La semaine d’après. Le 21 mars exactement, nous étions en train de suspendre Iphy après un plafond pour une chorégraphie rocambolesque. Ça passe vendredi à Kino. C’est déjà demain. C’est un défi chorégraphique. J’ai hâte aussi. J’ai l’impression que tous mes temps libres sont passés à finir ce film là qui a soudainement repris vie après 2 ans de rien du tout. Ça fitte dans le défi. Mon rendu n’est pas fini, je continue à jaser.
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C’est un défi que Gaba a aussi relevé. C’est son premier Kino.
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Une première projection de film publique. Mettons qu’elle fitte dans le thème avec son précédent clip. Iphy joue dedans. C’est traumatique. 12 minutes remaining à mon rendu. Je continue.

Jesse Malcolm Sweet présente un film. C’est un crisse de bon film. C’est en pellicule 16mm. Je suis brièvement dans le film. Je parle de moi et Iphy, c’est mon blog. Non?

Mais t’as des trucs de plein d’autres gens.
https://vimeo.com/63012621

Ça va être bon. Inégal. Spécial.

Mon rendu AFX est fini. Je balance ça dans Premiere et j’exporte. Dentiste demain 8hAM et après plein de merveilleuses choses secrètes (pas pour si longtemps) pour Ubi.

Après, c’est au Théatre Rialto à 8h30 pile.

Job

Kino en mars

J’partais ce matin vers New York pour présenter un film au festival CineKink mais à Montréal demain il y a toujours Kino avec une soirée vraiment pas trop pire.

Bande annonce :
http://vimeo.com/60142457

Les oeuvres avec un gros O majuscule se tassent un peu ce mois-ci avec des films un peu plus fous et amusants ; Kino qui se fait du fun. 20 réalisateurs auront aussi essayé de se faire du fun avec le défi de musique pigée au hasard comme bande son mais comme c’est de la musique classique ça risque d’être plus un moment de beauté qu’une floppée de films/défis débiles. Vous m’en donnerez des nouvelles.

Vendredi 1er mars 2013 au théatre Rialto.

Film, Voyage

Rocambolesque Trouville 2011

J’ai mis un nouveau film sur Synaptic.TV. Un film qui date de 2011 et que j’aime beaucoup considérant ce que ça a pris pour le réaliser.
Ton chien est mort

Et maintenant, voici comment ça s’est déroulé :

Début septembre 2011, je suis envoyé en mission à Trouville pour participer au Kabaret Kino du festival Off-Courts. Ce sont des rencontres France/Québec autour du court-métrage et c’est vraiment ce qu’on sent avec une grande délégation Québécoise qui va en France pour présenter leurs courts métrages de la dernière année ou, comme moi, produire spontanément quelque chose de nouveau. Du coup c’était la première fois que je passais du temps en France.

Nous débarquons de l’avion, nous embarquons dans une mini-fourgonnette et nous partons vers Trouville. 2 heures après nous prenons possession de notre chambre d’hôtel et allons presque immédiatement rencontrer le maire de la ville à l’hôtel de ville.
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Cocktail et présentations. C’est pas mal le lancement du festival. Ça a commencé intense et c’est le rythme que ça a gardé pendant toute la durée du voyage.

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La vue du balcon de l’hôtel de ville.

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Toujours du balcon mais en regardant de l’autre côté. Le Kinolab est juste au pied du casino à gauche caché sur la photo.

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Et derrière le casino, c’est la plage et le boardwalk.

Ça me fait quelques variables déjà à évaluer pour me trouver une idée de film. J’ai ma liste de « vieilles » idées à faire mais rien m’emballe tant que ça dans le décor qui s’offre à moi. Vu le nombre de québécois qui débarquent dans la ville pour le festival, j’ai quelques idées plattes du genre de faire un débarquement en Normandie mais avec des artistes québécois. On aurait vu une usine au Québec qui fabrique des artistes/combattants pour prendre possession de la France. Kavanagh, Linda Lemay, Coeur de Pirate, etc.. Disons que j’avais déjà mis cette idée de côté pour le bien de l’humanité. Je pars vers une projection du festival qui s’appelle « Made in Trouville ».

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Dans le Kinolab en bois, bâtit uniquement pour le festival et démantelé dès que c’est terminé, c’est déjà le party avec les groupes Who are you et Tom Fire. La soirée glisse comme le bon calvados.

Le lendemain, rendez-vous de production.
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Nous sommes le samedi 3 septembre en matinée et c’est un peu là que je m’engage à produire un film pour la première projection du Kino Kabaret le lendemain dimanche 4 septembre à 22h. C’est casse gueule. Très très casse gueule. J’aurais pu y aller pour le mardi 6 septembre et le 8 septembre mais comme la majorité des gens se placeraient dans ces cases là je me suis dit que je réussirais encore l’exploit comme j’avais fait à Bruxelles en livrant un film complexe dont j’étais satisfait pour la première projection du Kabaret. Bon, pour y arriver j’avais peu ou pas dormi et j’étais sur le bord de la crise de nerf mais ça avait marché. L’idée la plus réalisable alors provenait sans qu’il le sache de mon ami Deze dont le chat égyptien était tiraillé entre son ex et lui. Au rendez-vous de production Antoine Arnoux avait apporté son chien Séquotine et j’ai fait 1+1 : j’étais alors pour avoir un film où un type veut revendiquer les droits des hommes à une garde partagée juste et où il y aurait un gros malentendu par rapport à si nous parlons d’un chien ou bien d’un enfant. Ouf, c’était un synopsis laborieux mais j’avais la journée pour l’écrire et la fignoler. Le lendemain matin je tournais sans faute, et le lendemain soir je présentais. Casse gueule encore. J’ai réservé quelques acteurs, le chien Séquotine et je suis parti de midi à 17h en repérage dans la ville pour me laisser inspirer et penser, seul, à mon scénario.

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Film

Kino Brunch

Demain matin ? Dimanche ? Hangover ?
Il y a le Kino brunch qui coûte 10$ et qui te permet de manger et de voir des courts métrages.

En plus je présente Course Pousse.

Ça va être plaisant. 10h30 au Rialto pour le brunch. 11h30 pour les films.

Job

On nait seul.

Un court métrage se visionnant en empruntant le lien suivant : http://vimeo.com/48195484

Je suis une voix tourmentée pour une personnage tout aussi tourmenté dans On nait seul, un excellent film de Romain Assénat fait au Kabaret Kino de Bruxelles en 2012. Il y a des tours de passe-passe avec un projecteur dans le film et c’est de toute beauté.




Screenshots



À l’enregistrement, tard, tard.

Job

L’autre soirée Kino, celle de novembre.

Ça fait 1 mois que 10000 affaires se passent en même temps mais mon blog est resté figé dans le temps le mois dernier alors que je venais de terminer la bande annonce de la soirée mensuelle de Kino.

Bein, clairement c’est la nouvelle bande annonce Kino que je présente en ce moment.
https://vimeo.com/52437879

Au programme, des films de:
Stevan Jobert
Lawrence Côté-Collins
Maxence Bradley, Alexandre Lampron & Élisabeth Olga Tremblay
Vincent Campbell
Simon Beaupré
Hugo Matte
Charles-Louis Thibault
Martin Thibaudeau
et Vanessa T-Denault.

Mais je n’y serai même pas. Parce qu’on s’est prévu la fin de semaine pour aller à New York mais qu’on y va malgré le fait que New York viens de se faire pas mal lessiver. C’est une histoire à suivre…